Eneffet, il ne se passe pas un jour sans que l’on entende parler de ce genre de faits divers. La dernière en date concerne un Nigérian du nom de John vivant en Afrique du Sud, ce dernier aurait tout d’abord engrossé une femme et a offert ensuite un cadeau faramineux au mari de la dame. Les faits ont été rapportés par le site Daily Live.
Lancée en juillet dernier, 3nder » permet aux couples et aux célibataires de dégoter un plan à trois. Une appli qui promet de combler ses utilisateurs et de rendre son créateur très riche… Grindr, Tinder, Hornet… Ça fait maintenant belle lurette que les smartphones permettent à leurs utilisateurs de draguer ou de baiser. Mais jusqu’ici, il n’existait pas d’appli dédiée au triolisme », comprendre le plan cul à trois. Heureusement 3nder prononcée “threen-der.” est arrivée ! Le principe est simple téléchargez l’application sur App Store, loguez-vous via votre compte Facebook puis remplissez votre profil en tant que couple ou célibataire, indiquez votre genre et vos préférences sexuelles et c’est parti. Vous pouvez désormais liker les profils d’autres utilisateurs. Si vous matchez » avec l’un d’entre eux, une fenêtre de dialogue s’ouvre. Félicitations vous venez potentiellement de décrocher un plan à trois ! 3nder est le bébé » de Dimo Trifonov, un Bulgare de 24 ans installé à Londres depuis 4 ans. Son application pour faciliter la vie des amateurs de sexe à trois pourrait bientôt faire de lui un millionnaire En théorie je le suis déjà ,explique le jeune homme, »ma compagnie est estimée à 4 millions de Livres sterling environ 5,1millions € . Un énorme tabou Une idée en or massif donc, pourtant née d’une simple conversation entre ce jeune web designer et sa petite amie Un soir, ma copine Ana et moi parlions de nos fantasmes respectifs », explique Dimo, Apparemment nous avions tous les deux la même idée en tête, c’est à dire faire du sexe à trois, mais sans oser en parler ensemble. C’est encore un énorme tabou ! Pourtant il n’y a rien de mauvais dans le sexe tant que tu ne fais de mal à personne ! ». Le lendemain de cette discussion, Dimo décide de créer une appli pour que chaque possesseur iPhone puisse se trouver un plan à trois près de lui J’ai fait des recherches sur le web. J’ai regardé Craiglist, les chats échangistes, etc. Tous ces sites sont chers, un peu louches et assez incompétents ». Dimo Trifonov. En février 2014, Dimo met en ligne une page de présentation de sa future appli qu’il baptise donc 3nder ». Il créé un compte Twitter et s’abonne à quelques journalistes influents En 3 jours, tous les médias ont commencé à parler de nous The Independant, le Daily Mail… Tout le monde s’est emparé du sujet. On s’est regardé avec ma copine et on s’est dit Finalement, on n’est pas les seuls ! . En un mois, 15 000 candidats s’inscrivent pour avoir accès à la version bêta de 3nder. Dimo recrute des développeurs et convainc quelques investisseurs de miser 15 000 livres environ 19 000 euros sur le développement de son application. Début juillet, après trois mois travail, 3nder est enfin disponible avec une baseline simple et efficace Le trio facilité rencontrez des gens ouverts d’esprit . Aujourd’hui, l’appli compte plus de 230 000 utilisateurs dont la plupart ont entre 18 et 30ans. Un succès encore confidentiel comparé aux 10 millions d’utilisateurs réguliers de Tinder ou aux 5 millions de profils revendiqués par Grindr. L’un des aspects les plus attrayants de 3nder —outre sa simplicité et son design qui rappelle celui de Tinder — c’est son univers bienveillant et sexuellement neutre pas de photos X, juste une collection de selfies et de prénoms à liker ou pas. Autre bon point, le coté inclusif de l’appli utilisateurs homos, hétéros, bi ou polyamoureux, en couple ou célibataires, se côtoient paisiblement. Les applis comme Tinder sont très conservatrices », tacle Dimo Trifonov, elles séparent les homos et les hétéros, on ne peut pas choisir son genre, encore mois indiquer si on est transgenre. Sur 3nder, c’est possible ! ». Mais 3nder, ce sont encore les abonnés qui en parlent le mieux. Certains comme Julien et Stéphane, en couple depuis 7ans, sont déjà fans 3nder nous a permis de nous affranchir des sites de rencontres gays où les couples sont souvent mal perçus car les mecs cherchent surtout à se caser ou à baiser à deux . D’autres comme Audrey déchantent Ca fait 3 mois que je me suis inscrite. J’ai eu une trentaine de matches » mais rien ne s’est concrétisé , regrette-t-elle. C’est normal ! , assure le créateur de l’appli, même ma copine et moi n’avons pas encore trouvé la bonne personne pour sauter le pas. Mais je connais des gens à qui on a changé la vie. Un couple m’a dit Ca fait trois ans qu’on galérait pour trouver un plan à trois. Grâce à 3nder, on en a trouvé un en 3 jours ! . Spontanéité VS efficacité L’appli soulève aussi quelques questions de sécurité notamment pour ses utilisatrices. Même si le login via un compte Facebook existant est censé diminuer les risques de tomber sur un faux profil ou pire, sur un prédateur sexuel. Jusqu’à présent, aucun incident de ce genre n’est à déplorer d’après Dimo Trifonov. Quid de l’exploitation et de la vente des données des utilisateurs ? Pour l’instant, nous n’exploitons pas ces données , jure le créateur de l’appli. Quant aux abonnés qui redoutent les qu’en dira-t-on, 3nder propose une option incognito »payante qui permet de rendre son profil invisible à ses amis, sa famille ou éventuellement à son partenaire… Avec 3nder, le plan à trois perd en spontanéité et romantisme autant qu’il gagne en efficacité. Oubliez la soirée arrosée avec l’amie qui finalement passera la nuit entre vous et votre moitié. Ici, le fantasme est réduit à la taille d’une application. 3nder force le destin. Mais il faut avouer qu’organiser un plan à trois peut s’avérer délicat. C’est carrément de l’algèbre, oui ! , explique Laure, 26ans, en couple depuis 5ans et utilisatrice ravie de 3nder., la fille doit me plaire, ainsi qu’à mon mec et il faut qu’on lui plaise aussi ! . Faut-il pour autant en passer par une appli ? C’est plus simple ! Je ne me vois pas galérer sur un site libertin et encore essayer de convaincre une collègue de boulot de venir tester mon mec à la maison ! . La semaine prochaine 3nder lancera une campagne de crowfunding pour améliorer son interface qui connait encore quelques bugs On a des problèmes avec le système de messagerie, on est en train de le réécrire intégralement. On va aussi ajouter une messagerie vocale et une possibilité d’envoyer des selfies un peu à la manière de snapchat. Le but c’est de ne plus avoir à quitter l’application pour rentrer en contact avec votre match . En tout cas, jusqu’au pied du lit.
Magali 55 ans : "Avoir un amant maintient l'équilibre fragile de ma famille" "Je vous la fais courte : je suis mariée, j'ai trois enfants, et un amant, qui a une femme et trois enfants.

Publié le 21/11/2016 à 1649 , mis à jour à 1726 C'est une étonnante vidéo qui circule en ce moment sur les réseaux sociaux. On y voit une femme, Dona, filmée depuis un drone par son mari John, qui veut prouver qu'elle le trompe avec un autre. La vidéo a déjà été visionnée par 10 millions de personnes en moins d'une semaine. John et Dona sont mariés depuis 18 ans. Mais depuis quelques temps, John a des doutes sur la fidélité de sa femme. C'est de cette façon qu'il justifie le fait d'utiliser un drone pour la filmer, sans qu'elle le sache, et la démasquer enfin. Cet homme, originaire de la Pennsylvanie, décide donc de filmer sa femme quand elle part travailler le matin. Sauf que cette fois-ci, elle n'emprunte pas son chemin habituel. Sur la vidéo, Dona s'arrête à un carrefour pour se recoiffer. Ah ! Tu es en train de te faire belle pour l'homme avec qui tu vas tromper ton mari ! », s'écrie John, sous le choc de ce qu'il découvre. Le pire est à venir. Dona se dirige vers le parking d'un magasin. On la voit alors embrasser le conducteur avant de s'asseoir sur le siège passager. C'est à ce moment que John laisse éclater sa colère. Et voilà dix-huit ans de mariage qui s'effondrent . Dix-huit p***** d'années ! Je pensais que nous étions un couple heureux. Visiblement non... ». Il montrera la vidéo à sa femme deux jours plus tard, accompagné d'une demande de divorce. On ne se remettra pas de ça. Même si je lui pardonnais, chaque fois qu'elle serait en retard quelque part ou qu'elle s'absenterait un moment, quelque part dans mon esprit, je penserais à ça », a-t-il confié au Daily Mail.

Après25 ans de mariage, Sylvester Stallone et sa femme Jennifer Flavin se séparent. Cette dernière a en effet déposé une demande de divorce auprès d'un tribunal de Floride le 19 août
Par dans Amour et séduction Mis à jour le 17 août 2019 , Lu 17666 fois L’une des questions que les gens se demandent très souvent est pourquoi les hommes noirs préfèrent les femmes blanches », oubliant aussi que les femmes blanches préfèrent beaucoup plus les hommes noirs… A chaque année, des milliers des femmes blanches débarquent en Afrique subsaharien à la cherche de leurs princes charmants, des hommes noirs. Pourquoi alors la femme blanche laisse l’homme blanc en occident, qui est parfois financièrement construit, pour aller chercher un black en Afrique ? Cet article a été écrit pour élucider le mystère. L’homme noir est trop généreusement gâté par la nature Mythe ou réalité ? On raconte partout dans le monde que l’homme noir est doté d’un engin d’un gros calibre. Et puisque les femmes, surtout les blanches, sont naturellement attirées par les hommes trop généreusement gâtés par la nature, la femme blanche aime alors avoir un homme noir dans son lit. L’homme noir est à la fois charmeur, doux et vilain garçon Quand il s’agit d’aborder les femmes, l’homme noir est quelqu’un de plus confiant. Il sait aussi charmer les femmes grâce à son assurance et sa bonté. Il donne autant d’affection et du respect à la femme. IL est aussi un homme protecteur. Ajouter à cela le fait qu’il soit un vilain garçon, l’homme noir est l’homme dont la plupart des femmes rêvent avoir à leurs côtés. Un vilain garçon ne signifie pas ici un garçon moche. Il s’agit d’un homme qui sait imposer des limites. Il ne s’abaisse pas devant quelqu’un ou une femme pour faire plaisir. Il dit non quand il le faut. C’est un homme responsable. Bref, l’homme noir est un vrai homme qui sait prendre ses propres décisions. Il ne se laisse pas dicter sa conduite. En plus de cela, il sait aimer et protéger sa dulcinée ; et les femmes adorent ça. Et comme l’a dit Maire Pehkone, une suédoise qui n’aime vivre l’amour qu’avec des hommes noirs l’homme noir est très gentil… » Quand il s’agit d’une femme blanche, l’homme noir s’en fiche de l’âge C’est bien connu chez les mamies blanches. Les hommes noirs sont des gens très reconnaissants. Et la plupart des jeunes africains souhaitent quitter le continent pour une vie meilleur en Europe. Ils sont donc prêts à aimer, chérir, et même s’engager avec des vieilles blanches si cela leur permettra d’avoir le ticket pour l’Europe. Beaucoup des vielles femmes blanches veulent profiter de la vie. Elles veulent être aimées et se sentir aimées. Et elles savent que les jeunes blacks peuvent leurs offrir de l’amour. C’est pour ça qu’elles préfèrent partir chercher leurs anges gardiens en Afrique.
LaFemme de mon pote est un film français réalisé par Bertrand Blier, sorti en 1983.. Synopsis. Courchevel.Pascal (Thierry Lhermitte), gérant d'un magasin de vêtements de sport d'hiver, et Micky (), disc-jockey à la station de radio locale, malgré des caractères dissemblables, sont amis de longue date.Pascal, beau garçon, sûr de lui mais fragile, a du succès avec les filles, à l

Code embed Un homme noir rentre dans un ascenseur en compagnie d'une femme blanche. Il y a certains gestes racistes qui ne trompent pas. ascenseur blanc femme homme noir racisme Favoris Signaler Article + 142 commentaires

Ilsouleva sa djellaba et je me retrouvai la tête sous étoffe nez à nez avec son sexe toujours dur. Il était vraiment épais. J'ouvris la bouche au maximum et essayait de le faire pénétrer au fond de ma gorge. Je commençais de lents va et viens sur sa queue, au rythme que m'imposait sa main toujours sur ma nuque. Je sentais les mains de mon mari sur mon cul. J'avais envie qu'il me
Je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans, je suis employée dans une agence de pub. Le texte qui suit est inspiré de faits réels, je suis aujourd'hui divorcée mais à l'époque, j'avais 28 ans et je vivais avec mon mari, Marc, dans un quartier résidentiel de province depuis près de 4 ans. Je suis plutôt grande 1m75 avec de longues jambes ayant comme point culminant de jolies petites fesses rondes, bien dessinées au dire des hommes qui ont eu le privilège de les contempler. Ma poitrine est harmonieuse sans être démesurée, mon 95B étant aussi très apprécié. Je suis brune, les cheveux aux épaules, les yeux bruns verts, ma bouche est pulpeuse et gourmande. J'aime mon corps, je l'entretien et le cultive depuis mon adolescence. On m'a toujours dit que j'étais belle et je n'ai jamais eu de difficulté à le croire et de fait, à séduire les hommes. Au collège déjà, j'étais celle qu'on regardait… en avance sur les autres filles, je m'habillais de façon provocante, pour choquer, aussi bien ma famille que mes copines coincées. J'aimais plaire ! Sentir le regard insistant des mecs sur mon cul m'excitait au plus haut point… j'en rajoutais donc et ne me faisais pas prier pour attirer les convoitises. J'ai pourtant mis longtemps à franchir le pas… j'aimais plaire et séduire mais je m'amusais à allumer sans conclure. C'était un jeu et c'était tellement jouissif d'exciter tous ces hommes, et si facilement, que je n'en désirais pas plus. Pourquoi auraient-ils eu la chance eux plus qu'un autre de me déflorer ? Ils se contentaient donc de ce que je voulais bien leur donner... et j'étais parfois très généreuse ! J'aimais me donner en spectacle, faisant contraster l'image de la jeune fille sage de bonne famille le jour, à celle de la garce aguichante la nuit. Me faire traiter de salope » en soirée par des hommes frustrés ne me gênait nullement, bien au contraire ! Je me respectais, c'était là l'essentiel. Bref, je n'ai donc pas eu la moindre expérience avant 18 ans, avant qu'on me résiste et m'arrache, presque de force, mon dépucelage. Je voulais un Homme et j'ai rencontré Marc, de 5 ans mon aîné. De suite, il a su comment me prendre et dompter la chienne qui était en moi. Lui aussi étant très branché sexe, je me suis mise au diapason sans toutefois tout accepter… j'ai endossé mon rôle de femme soumise à son mari avec beaucoup de plaisir, ça me changeait et je pensais que c'était comme ça que ça devait se passer dans une relation stable. Je m'habillais de façon très classique, en tailleur, refusant de porter string et autres dessous trop affriolants, lui refusant même selon mon bon vouloir une position, un lieu, un fantasme… je lui résistais et pensais le garder de cette façon. Si on donne tout, ils ne veulent plus rien, pensais-je ! Marc me trompait, je le savais. Il se tirait tout ce qui se présentait et se détournait de moi. Je l'aimais comme une folle et j'en étais très malheureuse mais je m'étais enfermée dans mon personnage de femme coincée, BCBG et pudique, pensant que c'était ce qui le branchait. C'était aussi la seule facette qu'il connaissait de moi et je ne savais comment opérer la transformation » et lui faire comprendre que je voulais être SA femme, la seule et l'unique. Il avait beau me tromper allégrement, il me charriait souvent avec mon chef, Pierre, qu'il soupçonnait d'être mon amant. Il n'en était rien, ce petit bureaucrate n'avait aucune chance mais Marc était jaloux, très jaloux ! Je décidai donc de m'en servir et j'acceptai l'invitation de Pierre à aller prendre un verre, dans un café à deux pas de la boîte. Pierre se voulait très insistant, il matait mon décolleté plongeant sans complexe, passait sa main sous la table, la posant sur ma cuisse et me caressant ensuite l'entre cuisse sans autre précaution. Il me prenait très certainement pour une fille docile, dingue de son patron, quel crétin ! Je jouais le jeu… peut-être allait-il réveiller mes vieux démons, qui sait ! Ca faisait tellement longtemps qu'un autre homme ne m'avait pas touché… Pierre me ramena à sa jolie voiture et me prit la bouche quasi instantanément, me pelotant grassement, une main sur mes seins, une autre cherchant ma chatte. J'aimais tellement Marc que, même excitée par la situation, je me sentais incapable d'aller plus loin et telle une bourgeoise effarouchée, je décidai d'écourter ce cuissage intempestif. En rentrant à la maison ce jour là, j'ai trouvé Marc debout dans le salon, très en colère. Il m'avait suivi et avait tout vu » selon ses dire. Il me traita de tous les noms, j'étais une pute, une salope indigne de son amour, une traînée qui se tapait son patron depuis des lustres... Je me sentais sale, coupable… en larme, je le suppliais de me pardonner - Marc, mon chéri, je t'aime, je suis désolée, pardonne moi… il n'est rien pour moi, nous avons rien fait ensemble, je te le jure… » - Ne jure pas salope, t'as aimé te faire sauter par ce minable, je le sais ! Je t'ai vu de mes yeux ! » - Marc, je…. » - Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre ! A genoux, suce-moi ! SUCE MOI je te dis et t'as intérêt à ne pas jouer ta mijaurée et à y mettre du tien, depuis le temps que tu me le fais ce coup là ! » Troublée, en larme, je m'exécutai sans un mot… Je déboutonnai son pantalon, le fit tomber sur ses genoux et le pris en bouche, doucement, le suçant en bonne élève, sur toute sa longueur… il était déjà raide mais son érection doubla dans ma bouche, sa bite était si tendue qu'elle me faisait mal. Je lui léchai les couilles, je savais qu'il aimait ça mais il me prit brutalement par les cheveux et força le mouvement, entraînant mes lèvres dans un va et vient douloureux. Je savais à peine respirer, j'étouffais mais il s'en moquait, je ne le l'avais jamais vu dans un tel état. Il grognait et m'était méconnaissable mais la chaleur qui se dégageait de mon bas ventre attestait que j'aimais ça. J'aimais être sa chose, sa bouche, rien qu'une bouche, rien qu'une suceuse… Enfin, il se crispa, se retira et m'éjacula sur le visage. C'était une première pour moi, je me sentais à la fois souillée et heureuse, complètement dominée… Marc se rhabilla sans un mot, puis après m'avoir encouragé à me débarbouiller, il me lança depuis le salon - Ce n'était qu'un début, tu vas me le payer ! » - … - Ce soir, on reçoit un invité, change toi et fais-nous quelque chose de bon ! » - Mais Marc, je n'ai pas… » - Je ne t'ai pas demandé de discuter traînée, je reviens à 20h, sois prête ! Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je te mets dehors ! Ah tu as voulu jouer à ce jeu là… » et il claqua la porte. Je ne l'avais jamais entendu parler de cette façon et encore moins en s'adressant à moi ! Qu'avais-je fait ? Il me faisait presque peur… mais force est de constater que j'étais trempée. Il arriva à 20h30, souriant, une bouteille de champagne à la main et accompagné, quelle ne fut pas ma surprise, d'Emilie ! J'étais effondrée, je haïssais cette fille ! Elle avait tout pour m'exaspérer et ne s'en privait d'ailleurs pas ! Emilie avait 29 ans, jeune cadre d'une grande entreprise parisienne, nous l'avions rencontrée en vacance à Bali il y a deux ans. A l'époque, Marc insistait pour que nous nous voyions avec son copain de l'époque, plutôt mignon en passant. Je le soupçonnais de vouloir partouzer et j'y avais mis mon veto après lui avoir fait la gueule pendant près de quinze jours ! C'était le genre de fille dont les hommes raffolent et Marc restait bassement un homme blonde, une poitrine énorme toujours en évidence cette fille ne portait jamais de soutif !, un petit cul rebondi doté d'un string jamais longtemps caché, un visage d'ange contrastant avec son comportement d'allumeuse… Elle était vulgaire, maniérée, toujours à parler d'elle ou de son cul ! Quant elle était là, je n'existais plus… je rageais… - Tu connais Emilie ? Tu n'as pas l'exclusivité de l'extra conjugal ma chérie, ce soir, Emilie elle est officiellement ma femme » me lança Marc sur un ton conquérant. Je restais sans voix… sa femme… - Quand à toi, tu vas nous servir et nous obéir. Je vais te montrer qui est le maître ici… » - Alors, salope, on trompe son mari ? Va te changer, tu ne ressemble à rien dans tes loques de bourgeoise, tiens, voici de quoi ! » insista Emilie avec un sourire en coin. - Prends exemple sur Emilie, regarde comme elle est attirante, elle ! File ! » Je couru machinalement à la salle du bain pour déballer les vêtements qui se trouvaient dans le sac d'Emilie. Je me sentais si mal mais je tenais à mon Homme, je devais payer pour ma méconduite, je m'exécutai donc, le ventre noué. Une jupe noire, en cuir, ultra courte. Des bas résilles, un string ficelle rouge, un soutien-gorge noir ne possédant que des armatures et une paire d'escarpins. Le complet trottoir !! Je ne pouvais pas mettre ça !! Quel horreur ! Le string n'étais même pas propre, il portait encore son odeur intime… Je revins 15 longues minutes plus tard, fringuée pour le coup, comme une pute. Marc était assis, entièrement nu, ses vêtements éparpillés un peu partout dans mon salon. Emilie était déjà à genoux, en jarretelle et string noir mettant, je dois l'avouer, magnifiquement son cul en valeur. Très concentrée, elle suçait Marc, se permettant même d'émettre des petits cris de jouissance. Je n'en revenais pas cette pétasse suçait MON Homme sous mes yeux! Et le pire c'était qu'il avait l'air d'apprécier plus que de raison cette pipe gourmande effectuée par cette experte blonde ! Emilie ondulait, bougeant sa croupe comme si un tiers la prenait par derrière. Figée, comme pétrifiée, je ne pouvais malgré moi pas détourner les yeux de ce spectacle affligeant. J'étais prostrée, invisible à leurs yeux. Soudain, Marc m'aperçut - Tu vois que tu peux être bandante toi aussi ! » me dit Marc. Mais ne reste pas là bêtement, ramasse nos fringues et sers nous à boire ! » Emilie se redressa de son jouet et dit - Pas comme ça, salope, ne plie pas les genoux que mon homme puisse voir ton gros cul ! D'ailleurs, tourne-toi, je veux aussi le voir ! » - Et réponds quant on te parle, tu te crois où !!? » - Mais oui ! » dis-je à voix basse sur un ton agacé. - Attends, répète un peu ? Je veux entendre oui monsieur ! Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée ! » reprit-il sèchement. - Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée. » J'avançai donc dans leur direction, me tournai et leur offris mon cul. - Et dire que tu as dû te farcir ce cul immonde pendant des années, mon pauvre chéri ! » fit cyniquement Emilie. Enlève moi ce string, tu ne mérites pas de le porter ! » J'enlevai donc le sous-vêtement rouge. - T'as vu comme elle mouille la salope ?! Elle dégouline… Ah ça l'excite de me voir avec mon mec… voyeuse ! Vas donc raser ta chatte pendant que mon mec me baise, tu nous fais honte ! » Penchée en avant, les seins pendant dans le vide, la jupe remontée bien au dessus des fesses, mon intimité offerte à leur regard critique, les imaginant mater ensemble mon cul que commentait Emilie, je me sentais au plus mal. C'est en larme que je rejoignis la salle de bain afin de me raser, comme exigé par Emilie. Quand je revins dans le salon, elle était à quatre pattes, en levrette. Marc lui assénait des coups de butoir d'une grande force. A chaque coup, son corps partait en avant, ses seins généreux touchant le sol et elle gémissait de plus belle, la tête redressée. Marc accéléra le rythme et ils jouirent vraisemblablement en même temps. Emilie, toujours à quatre pattes, se tourna vers moi - Viens me lécher la chatte sale pute, enlève avec ta langue le foutre qui coule le long de mes cuisses ! Et applique toi ou tu risques de le regretter ! » Je me mis donc moi aussi à quatre pattes afin de la nettoyer, comme elle me l'avait précédemment ordonné. Je n'avais jamais été attiré par un sexe de femme et pourtant, timidement, je commençai par donner des coups de langue sur ses grandes lèvres, la suçotant et la léchant comme un chien laperait son eau, allant chercher avec celle-ci le foutre de mon mari qui coulait entre ses cuisses. Je me sentais excitée comme jamais, je mis donc du cœur à l'ouvrage, insistant à l'entrée de son vagin, la pénétrant de ma langue, léchant son anus odorant avec avidité. Elle était si douce. Elle gémissait légèrement à chaque coup de langue. J'étais humiliée, trompée, bafouée et malgré tout cela, curieusement, j'y prenais beaucoup de plaisir… je glissai un doigt en direction de mon vagin, et me masturbai, doucement, le visage toujours enfoui dans sa vulve. J'avais chaud, ma chatte était en feu, il fallait que je me soulage. A défaut d'une bonne queue, je me contentais des doigts que j'enfonçais au plus profond… Je me fis soudain honte et arrêta brusquement. Emilie se releva d'un geste et me contempla de sa superbe. Elle était belle, transpirante, les cheveux collés par la sueur, haletante. Ses seins étaient magnifiques, lourds, fermes. Son ventre était plat, musclé et se terminait sur un pubis parfaitement entretenu et taillé, d'un blond un ton plus foncé que ses chevelure. Elle tourna autour de moi comme un vautour autour de sa proie et se stoppa net derrière moi. - Baisse la tête m'ordonna t-elle ! Et présente moi ton cul, que je vois si tu es capable de te raser correctement ! » - Bien madame… » dis-je. D'un grand geste, elle me fessa et recommença de plus belle. Je sentais la douleur m'envahir, de plus en plus présente, presque insoutenable. Elle continua, de plus en plus fort, lâchant un tu aimes ça salope », tu le mérites, crois mois » à chaque claque. Marc regardait, la queue à la main, sans mot dire. - Tu ne m'as pas dit qu'elle refusait la sodomie ? » - Si, si » fit Marc, satisfait de la question - Et bien, on va arranger ça, elle n'a pas trop le choix dans sa position ! » assura Emilie avant de s'éloigner et de revenir avec un gode monstrueux. - Oui, oui chérie, c'est bien pour ton petit cul, et tu vas aimer ! Une salope digne de ce nom prend dans son cul, c'est bien normal. Et à bien te regarder, tu fais plus pute que salope ! Alors tu vas te diriger vers la baie vitrée et présenter ton cul à la vitre, si tu y mets du tiens, tu vas peut-être arriver à te faire sauter par un client en manque ! » - Mais Emilie, t'es dingue… Marc… tu ne vas pas la laisser, je ne peux pas faire ça ! Pour quoi vais-je passer moi ? Et les voisins ?! » - Il fallait y penser avant de te faire tringlée par le premier venu ! Obéis ou sinon… » insista Marc. A quatre pattes, je rampai vers la grande baie vitrée de notre salon donnant sur la route. Emilie se mit derrière moi et enfonça d'abord un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Je coupai ma respiration, me crispa sur ses doigts. J'ondulais, facilitant ainsi sa pénétration. Elle fit des allers-retours, j'étais au bord de l'orgasme puis, d'un coup, elle retira ses doits et me les fit lécher. Elle empoigna ensuite le gode et, centimètre par centimètre, planta cet objet de torture au fond de mes entrailles. Mon petit trou, vierge jusqu'ici faisait de la résistance mais Emilie insista jusqu'à me l'enfoncer jusqu'à la garde. La douleur était atroce, les larmes coulaient sur mes joues… J'étais offerte, comme une chatte en manque au regard de tout notre voisinage, enculée par une bite en plastique trônant à la sortie de mon anus. J'étais en dessous de tout malgré cette chaleur qui m'envahissait, me brûlait sans relâche le bas ventre. Oui, j'aimais ça… - C'est bon, c'est tellement bon… j'aime être défoncée, sodomisée, prise violemment. Prends moi, je t'en supplie Marc, prends moi la chatte, défonce moi ! J'aime qu'on me prenne le cul, je suis une pute, rien qu'une pute, juste une pute ! Ta chatte ! Je t'en supplie… » dis-je à deux doigts de la jouissance. - Je t'ordonne de frapper à la vitre quand un passant s'approche » dit impassiblement Emilie. Je veux que tout le quartier sache… Et dorénavant, dès que Marc te le demandera, tu te mettras à quatre pattes et il te sodomisera, ce sera d'ailleurs ta seule pénétration et ton ultime punition. Enfin, je compte bien passer quelques soirée avec mon chéri dans ta chambre, dans ton lit, et je ne veux pas que tu sois dans les parages, tu découcheras donc ces soirs là ! » - Nous sortons, ce soir nous dînons au resto » lança Marc et à notre retour, tu auras nettoyé tout ce bordel… » C'est ainsi que je pris conscience qu'on ne changeait pas... J'aimais le sexe, je vivais désormais pour ça et je ne pouvais me contenter de peu… Le soir même, je quittais la maison… j'étais enfin celle que j'ai toujours été une salope. Auteursandrine la salope © 2000 Docile tout droits réservés

Eneffet, en apprenant que sa copine l’avait trompé avec un autre, il a voulu se venger, mais pas n’importe comment. Quelques jours plus tard c’était son anniversaire, l’homme a donc souhaité lui faire croire qu’il avait organisé une surprise pour son anniversaire. Au final, il lui a donc organisé une fausse surprise, au goût

Adultère - Il surprend sa femme dans une maison close Certains bars des abords de Djicoroni Para une localité de la capitale malienne sont devenus des lieux de refuge pour des hommes et des femmes qui ont choisi le chemin de l'adultère et de la débauche. En effet, dans ces maisons closes communément appelées chambres de passe, tous les coups sont permis et les relations extra-conjugales y vont bon train. Unis par les liens sacrés du mariage, Ousmane et Mariam vivaient tranquillement dans leur maison. Fonctionnaire de son état, Ousmane menait sa vie paisiblement avec sa vieille voiture. Lorsqu'on accepte de se marier, il faut vivre avec les moyens dont on dispose. Cependant, à en croire le site Malinet, repris par nos confrères de Grand-Place, Mariam ne l'entendait pas de cette oreille. Ainsi, profitait-elle généralement de l'absence de son époux pour se donner à son amant, un douanier qui lui aussi avait fini par prendre goût à la chose. Les deux tourtereaux se retrouvaient dans un bar situé non loin de l’ex-siège du Pdes à Bamako. Rapidement, le quartier sera mis au courant de bouche à oreille et c'est par ce biais que le mari cocu a eu vent de l'affaire. Le week-end dernier donc, celui-ci décide de suivre sa femme pour connaître la vérité. De quelle façon sa femme sortait de la maison pour se retrouver dans les bras d'un autre ? Difficile à dire. Mais après seize heures, Ousmane décide de "sortir avec ses amis". Madame, comme d'habitude, emprunte le chemin qui va rejoindre la rue où son amant l'embarque à bord de sa voiture. C'était sans compter, cette fois-ci, avec la présence de son mari, en embuscades, guettant les moindres détails, la scène. Le couple indélicat fait cap sur le fameux bar. Plus de deux heures après, en sortant de chambre de passe, Mariam voit son époux en sentinelle à la porte du bar, l’attendant tranquillement... La suite de cette histoire se passe de surprises, ainsi que de commentaires... TU7X. 372 0 143 71 268 365 62 239 149

il offre un black a sa femme